L’ heure bleue
Attendre sur le quai encore tout endormie
Reconnaître les bruits de la ville assoupie
Mais plus pour très longtemps !
Ecouter « Dear Diary » en mâchouillant un carambar
Sentir le train filer dans la nuit effilochée
Chercher quel ange gardien peut être tatoué
Sur mon épaule …
Et puis descendre et laisser la gare m’envahir
Dans un déluge de lumières
Indoues
Et me fondre dans la rue
Avec au fond des yeux
Encore quelque
Poussière
D’étoiles !
2 réflexions sur « L’ heure bleue »
poussieres d’heures
bisettes tara!
je sors de mon abscence, hihi et j’ai la peche!
je savais que les petits anges gravaient leurs plumes sur tes épaules…
sourire à toi
A toi, Feuilllle !
Je commençais à m’ennuyer ! Ton sourire me fait du bien … Mais si des anges sur mes épaules se posent, j’en vois bien aussi, dans ton sillage !