Quête
D’abord tu hurleras au vent haut perché des peupliersPuis sur tes bras, contre tes joues sourira sa caresseAprès viendront les herbes et les champs à s’en perdreEt le ciel sans nuage jusqu’à l’horizon blême.Le soleil de septembre décapitera les haies,L’ombre striera la route.Tu chercheras en vainAu creux des fossésLes prénoms égarésDes anciens chevaliers.