Potée d’automne
Rayons cuivrés sur ma terrasse : l’automne frappe à ma porte. Attends encore un peu, lui dis-je. Suspends ton rougeoiement. Petite planète dort et moi, j’aimerais bien écrire un peu. Comme je souffre parfois de n’avoir pas le temps et comme bizarrement, j’aime aussi cette course qui ma happe et me laisse en promesses éternelles : un jour, mes heures reviendront, le temps se délaiera, l’inspiration coulera, mon prince me reviendra couvert de neige et de braises … En attendant,…