Coulisses d’une nuit d’automne : menu et déco
Ce soir, c’est Halloween.
Petit repas entre amis,
soupe de potiron aux épices et cuisses de poulet à la bière bleue
Repas sans chichis.
Pour le dessert, je cherche encore : pomme ou orange ? J’aime me laisser une liberté …
C’est peut-être pour cette raison que je continue de fêter Halloween, contre vents et marées, pour cette entière absence d’obligation qu’elle vous offre. Loin des fêtes et repas familiaux, Halloween se fête si et comme bon vous semble.
Ne croyez pas que j’aie cependant surchargé mon antre de toiles d’araignées en synthétique ou de citrouilles en plastique, de sorcières en bakélite. Sur le plan de table, trôneront juste deux jolies bonbonnières, lumineuses et régressives, comme j’aime. Chacun pourra les interpréter à sa façon : citrouille de sorcière ou carrosse. Moi, les deux me vont …
Vous les trouverez ici, à la Ferme enchantée, ma boutique déco préférée. Quand mes routes professionnelles passent par ses terres, je ne manque pas de m’y poser.
Mais pour l’instant; mon repas m’attend. Je vous laisse. A bientôt
3 réflexions sur « Coulisses d’une nuit d’automne : menu et déco »
chouette…
Enfin quelqu’un qui comme moi fête encore Halloween.
Petite fille la Toussaint était synomyme de messe barbante et de visite de cimetière…je préfère nettement mon repas des sorcières aux chandelles avec ma monstrueuse tribu qui raconte des histoires à faire trembler dans les chaumières. Soupe de potiron et doigts de sorcières au menu…pour le dessert roulé façon halloween tout dégoulinant de confiture d’abricot et couvert de réglisses en forme d’araignée…ils adorent et moi je m’amuse de les voir heureux.
Merci pour l’adresse de la ferme enchantée, je ne connaissais pas.
Bise
Quel honneur d’être votre boutique préférée, j’en suis fort touchée. Et en plus carrément dans les manufactures de rêves…..
Un grand merci !
Catherine.
PS:La confiture, une vrai douceur….Super pour bien démarrer la journée.
ce qui est important, c’est de (se) faire plasir, chacun à sa facon…le reste n’est que superflu